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"C'est pas un crime d'être patron"

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"Patrons voyous", "Ils sont trop payés ", "Ils ne pensent qu'à licencier", "Ils exploitent les salariés", "L'Etat leur fait des cadeaux", etc. Rarement, catégorie sociale aura fait l'objet d'autant d'attaques, de préjugés et de griefs.

Une catégorie sociale ? En-êtes-vous sûrs ?  En fait non, car le terme "patron" se révèle protéiforme. Il recouvre plusieurs réalités qui vont du "petit patron" jusqu'au dirigeant d'une entreprise du CAC 40.

C'est à partir de ces constats et à travers  une construction originale, un ton souvent drôle et bourré d'anecdotes, un style "déroutant", que cet ouvrage s'attache à reprendre point par point les principaux griefs adressés aux chefs d'entreprise, et à en démontrer l'absence de fondement. Comment ? En les confrontant tout simplement à la réalité des faits.

Il nous conduit à trois principales conclusions :

  • contrairement à ce que l'on pourrait croire, être patron, ce n'est pas forcément une sinécure, ce n'est pas aussi facile que ça ;

  • évitons les généralisations hâtives car tous les patrons ne sont pas des fraudeurs, des exploiteurs, des riches toujours obnubilés par le profit ;

  • la croissance d'un pays, sa création d'emplois et de richesses, reposent  principalement sur la consommation des ménages, des salariés, sur les investissements, les exportations et la compétitivité des entreprises, sur le dynamisme des patrons…il est donc inutile d'opposer ces différents acteurs car ils sont tous sur le même bateau.

 

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